la vie n’est que souffrance
la mort une delivrance
pourquoi continuer ainsi ?
pourquoi rester ici ?
sans amour et sans repères
ne connaissant que la misère. . .
aujourd’hui je suis sure de t’avoir perdu
toi mon petit ange déchu
avec qui j’aurai aimé un soir
partager, enlacés dans le noir
un tendre moment de bonheur
qui me fasse oublier tout mes malheurs
mais tout cela est incensé
car je ne te suis pas destiné
ton âme ne me donne plus que de l’amitié
et je me dois de simplement la garder. . . . . .
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